Ketore

Situé quelques kilomètres au nord de Coolgardie (elle même une cinquantaine de kilomètre à l'ouest de Kalgoorlie), Ketore fait partie de ces nombreuses villes ephémères qui parsèment l'ouest australien. On ne peut même pas appeler ça une ville fantôme vu le peu qu'il en reste, mais dans les années '90 (...enfin 1890 !) plus de 10.000 personnes habitaient là ! A chaque fois qu'un prospecteur trouvait de l'or quelque part, la nouvelle se répendait comme une trainée de poudre et ça déclenchée une ruée vers l'or de quelques kilomètres. Hotels, bars et éditeurs de journaux prospéraient grâce à l'affluence de mineurs qui se sont rués ici, et qui commencent à faire des trous partout. Mais rapidement, la plupart d'entre eux se rendaient compte que leur parcelle ne donnait rien. Et bien souvent le filon tarissait, ou bien la nouvelle d'une nouvelle découverte attirait tout le monde à un autre endroit, et ces villages disparaissaient par la force des choses. Toutes ces explications, et bien d'autres, figurent sur des panneaux explicatifs qu'on trouve sur le site de Ketore. Il n'en reste aujourd'hui que les ruines...

Localizado a poucos quilômetros ao norte de Coolgardie (ela até mesmo 50 km a oeste de Kalgoorlie) Ketore é uma daquelas cidades que pontilham muitos efêmera Austrália Ocidental. uma cidade fantasma não pode mesmo chamar-lhe vi pouco resta, mas nos 90 anos (1890 ... finalmente!) mais de 10.000 pessoas que vivem lá! Sempre que um prospector encontraram ouro em algum lugar, a notícia répendait como fogo e provocou uma corrida do ouro a poucos quilómetros. Hotéis, bares e editores de jornais prosperou graças ao afluxo de mineiros que se reuniram aqui, e começar a fazer buracos em todos os lugares. Mas, rapidamente, a maioria deles percebeu que sua terra não deu nada. E muitas vezes a veia secou, ​​ou a notícia de uma nova descoberta chamou a todos para outro lugar, e estas aldeias desapareceram por força das circunstâncias. Todas estas explicações e muitos outros estão em painéis explicativos encontrado no site Ketore. Permanece até hoje como as ruínas ...